La France, l'Allemagne, l'Italie, l'Angleterre et l'Espagne viennent d'annoncer le déblocage de 1 700 milliards d'euro comme garantie financières aux banques européennes, en réponse à la crise financière mondiale.
Les marchés boursiers ont réagis immédiatement et positivement à cette décision. Résultats, une hausse des cours spectaculaire de plus de 11% dans la bourse de Paris et Londres et de 8% en Allemagne. (A vérifier, je ne suis pas très sûr des chiffres).
L'effet recherché a été pleinement atteint : redonner au confiance aux marchés financiers et mettre fin, pour le moment, à cette panique générale ..
Mais pour combien de temps ? sachant que c'est le contribuable qui sera amené à payer cette grosse facture au cas où la décision de déblocage sera prise ..
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Les marchés boursiers ont réagis immédiatement et positivement à cette décision. Résultats, une hausse des cours spectaculaire de plus de 11% dans la bourse de Paris et Londres et de 8% en Allemagne. (A vérifier, je ne suis pas très sûr des chiffres).
L'effet recherché a été pleinement atteint : redonner au confiance aux marchés financiers et mettre fin, pour le moment, à cette panique générale ..
Mais pour combien de temps ? sachant que c'est le contribuable qui sera amené à payer cette grosse facture au cas où la décision de déblocage sera prise ..
2 commentaires:
13/10/2008 23:48
La question que je me pose: ou est la Tunisie en tout ça?
40% des investissements boursiers en Tunisie sont étrangers mais seulement 25% peuvent être en jeu, est ce un risque? Menace?
Même si cette crise passe, est ce qu'on est susceptible de tomber dans le même piégé vue les investissement immobiliers en augmentation?
....
14/10/2008 19:32
Je sais que la bourse tunisienne est loin de constituer une grande place de marché financier où on se bouscule et on achète/vende des avoir en tout genre ..
Le risque est là mais il est minime ... il réside surtout dans le comportement du consommateur/épargnant tunisien et sur la part des investissement français (susceptibles d'être atteint par la crise) aussi bien dans les banques tunisiennes que l'économie en général.
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